
Études contingentées
Chaque année, certaines filières d’études enregistrent un nombre à ce point important de demandes d’inscription – émanant notamment d’étudiants ne résidant pas en Belgique – que le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles a dû instaurer, depuis 2006, des quotas en matière de nombre d’étudiants non-résidents pour ces cursus (cfr. décret régulant le nombre d'étudiants dans certains cursus de premier cycle de l'enseignement supérieur du 16/06/2006 mis à jour pour la dernière fois 14/04/2017).
Ces filières sont appelées « études contingentées ». Ce terme désigne les études pour lesquelles le nombre d’étudiants
qui ne résident pas en Belgique
et qui s'inscrivent pour la première fois dans l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles dans l’un des cursus visés
est régulé. Concrètement, le nombre d’inscriptions d’étudiants non-résidents y est limité
à 30% (sauf en médecine vétérinaire où le quota est fixé à 20%) du nombre total d’étudiants (résidents et non-résidents) inscrits l’année académique précédente
et, s’agissant des études de médecine et de dentisterie, à 30% de l’ensemble des lauréats de l’examen d’entrée.
Ces filières sont appelées « études contingentées ». Ce terme désigne les études pour lesquelles le nombre d’étudiants
qui ne résident pas en Belgique
et qui s'inscrivent pour la première fois dans l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles dans l’un des cursus visés
est régulé. Concrètement, le nombre d’inscriptions d’étudiants non-résidents y est limité
à 30% (sauf en médecine vétérinaire où le quota est fixé à 20%) du nombre total d’étudiants (résidents et non-résidents) inscrits l’année académique précédente
et, s’agissant des études de médecine et de dentisterie, à 30% de l’ensemble des lauréats de l’examen d’entrée.